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Le Feu: Le Journal d'une Escouade Prix Goncourt (French Edition)


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Le Feu (sous-titré Journal d'une escouade) est un roman de guerre autobiographique de Henri Barbusse paru sous forme de feuilleton dans le quotidien L'Œuvre à partir du 3 août 1916, puis intégralement à la fin de novembre 1916 aux éditions Flammarion. Il reçoit la même année le Prix Goncourt. Ce livre que Barbusse, engagé volontaire en 1914 (il avait alors 41 ans et souffrait de problèmes pulmonaires)1, tira de son expérience personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant vingt-deux mois dans les tranchées de décembre 1914 à 1916. Barbusse tout au long de l'année 1915 tient un carnet de guerre où il note des expériences vécues, les expressions des poilus, et dresse des listes diverses et variées. Ce carnet servira de base à la composition de son roman dont l'essentiel de l'écriture l'occupera durant le premier semestre 1916 alors qu'il est convalescent à l'hôpital de Chartres puis à celui de Plombières. Le roman est découpé en vingt-quatre chapitres, qui paraissent d'abord sous forme de feuilleton dans le quotidien L'Œuvre, avant d'être publié par les éditions Flammarion en novembre de la même année et d'obtenir, quelques jours plus tard, le prix Goncourt.



La vie poignante d'une escouade de 17 poilus durant la première année de la première guerre mondiale. Malgré les conditions de vie atroces, l'amitié unit des hommes de toutes conditions et de toutes origines. A lire impérativement... Résumé : Henri Barbusse est le narrateur et personnage principal de ce récit. Le narrateur de ce livre se situe durant la plupart du temps en focalisation interne. À la guerre, il est accompagné par de nombreux camarades : Volpatte, Poterloo, Fouillade, Barque, Farfadet, Eudore, Paradis, Poilpot, Poitron, Salavert, Tirette, Blaire, Cocon et Bertrand. Durant les vingt-deux mois qu'il passe en première ligne, il prend en note les expressions des soldats, leurs craintes

Adrien Gustave Henri Barbusse, né à Asnières-sur-Seine le 17 mai 1873 et mort à Moscou le 30 août 1935, est un écrivain français. Du côté paternel il est issu d'une famille protestante d'origine cévenole (attestée au xviie siècle) dans un hameau d'Anduze, près d'Alès. Son père, licencié de théologie de l'Université de Genève, est journaliste, chroniqueur théâtral au Siècle. Sa mère est d'origine anglaise. Mais elle meurt alors que le jeune Henri n'a pas trois ans. Le milieu littéraire le reconnaît très jeune comme l'un des siens à la suite de sa participation remarquée en 1892 au concours de poésie de L'Écho de Paris de Catulle Mendès. Son premier recueil de poèmes, Pleureuses, est publié en 1895 (réédité en 1920). Il s'exerce alors professionnellement dans la presse, se tourne vers la prose et publie un premier roman, empreint de décadence et de naturalisme à la fois : L'Enfer, en 1908. En 1914, âgé de 41 ans et malgré des problèmes pulmonaires, il s'engage volontairement dans l'infanterie (malgré ses positions pacifistes d'avant-guerre) et réussit à rejoindre les troupes combattantes en décembre 1914 au 231e régiment d'infanterie avec lequel il participe aux combats en premières lignes jusqu'en 19163. La postérité se souviendra surtout du roman qu'il écrivit sur cette expérience Le Feu, prix Goncourt 1916, récit sur la Première Guerre mondiale dont le réalisme souleva les protestations du public de l'arrière autant que l'enthousiasme de ses camarades de combat. En 1917, il est cofondateur et premier président de l'Association républicaine des anciens combattants (ARAC).

En avril 1918 il est appelé par Jean Longuet pour assurer la direction littéraire du journal Le Populaire. Le premier article qu'il signe dans ce quotidien, qui est alors l'expression de la « minorité » pacifiste du Parti socialiste, est titré « Les lettres et le progrès »4. Fondateur du mouvement pacifiste « Clarté » et de la revue éponyme (1919-1924), il adhère au Parti communiste français en 1923 et se lie d'amitié avec Lénine et Gorki au cours de voyages qu'il fait en URSS.


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